Au sommaire : après-coup, articles à voir.
Cela fait déjà presque deux ans que nous sommes revenus de notre périple asiatique et des huit mois que nous avons passés à traverser nombre de pays,… Notre goût du voyage n’est en rien altéré et c’est probablement dans un esprit nostalgique (mais pas seulement) que la Bolivie est la bienvenue. L’espoir de retrouver quelques sentiments passés nous ravi.
Dans le désert de l’Atacama
La Bolivie promet dores et déjà d’offrir de somptueux paysages. De trop nombreux voyageurs en ont vanté les mérites. Nous voilà donc préparés à affronter quelques températures bien basses, en cette fin d’hiver, pour pouvoir profiter pleinement de ces promesses.
Des contraintes budgétaires nous auront poussé à prendre un aller-retour Paris-Santiago. En soi, ce passage obligé par le Chili nous aidera, sur l’aller, à s’acclimater à des altitudes importantes, nous offrira, sur le retour, la possibilité de profiter des joies des stations balnéaires…
Après coup
Finalement, ce seront trois semaines sur la Bolivie et une autre sur le Chili que nous aurons passées. Nous n’avons rien à regretter à celà, si ce n’est les temps de bus nécessaires à parcourir les quelques milliers de kilomètres ! D’une part, le Chili et son désert de l’Atacama sont un excellent point d’acclimatation à l’altitude (2500 mètres) mais ils offrent, d’autre part, des paysages d’exception.
Le laguna colorada, dans le sud Lipez
Quand à la Bolivie, elle présente incontestablement parmi les plus beaux paysages qu’ils nous aient été donnés de visionner. La richesse minérale du pays confère aux différentes cordillères des apparences soyeuses, resplendissantes,… Les teintes arborées sont multiples et probablement indefinissables… Il faut le voir pour le croire, s’immerger dans cette atmosphère. On agrémente cette toile de fond de quelques sites exceptionnels (déserts de sel, lagons, empruntes de dinausaures, peintures préhistoriques, lacs mythiques,…) et on réalise à quel point l’être humain est insignifiant face à cette nature encore sauvage et pour le moins ennivrante.
Quant aux populations de ces deux contrées, elles sont tout à fait charmantes et paraissent pour le moins et la plupart du temps désintéressées. A croire que le tourisme est inexistant !
Articles à voir
- De Santiago à San Pedro de Atacama, dans un des déserts les plus arides
- Dans le Sud Lipez vers Uyuni, dans les hauteurs d’une cordillère des Andes très colorée
- De Potosi à Sucre, un retour à des altitudes plus tolérables, idéal pour trekker
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- De la Bolivie vers Santiago, la redescente