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Destination incontournable en Asie, le Népal ne lasse jamais le visiteur… Des villes millénaires à l’aspect moyen-ageuse, où mille métiers ancestraux se rencontrent, où mille âmes se mêlent, aux montagnes enneigées de l’Himalaya, en passant par quelques villages perchés difficilement accessibles, où l’on rencontre quelques habitants on ne peut plus accueillant, le Népal réserve des surprises à chaque virage… Ce pays force décidément le respect et l’humilité !!!

Il ne m’aura fallu guère plus pour reprendre un billet d’avion et retrouver ce pays que j’apprécie chaque fois davantage… Je me plais à l’idée d’y revoir quelques amis népalais. Ils vivent décidément au présent. Plus l’heure du départ approche, plus les échanges de mails s’intensifient.

Anectdote

Je suis parti cette année, avec un collègue et ami qui avait suivi par le passé quelques unes de mes pérégrinations et souhaitait voir probablement les projets humanitaires que nous mettons en oeuvre sur le Népal dans le cadre de Thanaka. J’ai profité dans ces lieux – je l’avoue – de son œil neuf et avisé.

Je retiendrai particulièrement (et il n’était qu’au début de ses découvertes), alors que je l’attendais à l’aéroport, à son arrivée, la première phrase qu’il a lancé à mon attention et qui m’aura valu un bon fou rire…« J’en ai déjà vu des bordels, mais des comme ça !!! »

Après coup

Je ne me lasserai je crois jamais de visiter ce pays, si ce n’est pour ces terres, pour au moins y retrouver l’accueil exceptionnel et la gentillesse de sa population. Se retrouver, dans la montagne, logé dans une demeure familiale sommaire, sans électricité ni eau courante, dormant sur des paillasses inconfortables, mais gentiment prêtés par nos hôtes qui se débrouillent du coup pour dormir dans des lieux probablement moins confortables encore, force le respect et l’humilité.

Je serais revenus de ce séjour, avec l’envie d’aider encore davantage, par le biais de l’association Thanaka. Les dispensaire, toilettes, ordinateurs qu’elle a financés, les centres pour enfants défavorisés qu’elle y gère, sont de remarquables projets.

Comme je le disais il y a six ans, alors que je foulais les terres népalaises pour la première fois… On ne vit ici, et dans les traces de cette association, rien d’autre que du bonheur.

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